Alger, 27/05/2010 (SPS) L’Algérie et l’Afrique du Sud ont condamné les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental, a indiqué mercredi un communiqué de presse rendu public à l’issue de la 5ème session de la Haute commission binationale algéro-sud africaine.
Le président algérien, M. Abdelaziz Bouteflika, et son homologue sud-africain, M. Jacob Zuma, qui ont eu des discussions sur les derniers développements de la situation au Sahara occidental, ont rappelé qu’il s’agissait d’une “question de décolonisation”, dont la solution doit être basée sur “le droit à l’autodétermination” du peuple du Sahara occidental à travers l’organisation d’un référendum, selon le texte.
Evoquant la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, ils “ont condamné” les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés, a ajouté le communiqué. A cet effet, les deux chefs d’Etat ont lancé un “appel pressant” aux Nations unies pour qu’elles exercent leurs responsabilités en la matière à travers, notamment, la mise en place d’un mécanisme de protection des droits de l’homme au Sahara occidental, a-t-on souligné.
Les deux chefs d’Etat “se sont félicités”, par ailleurs, du “rôle actif” des deux pays dans la promotion de la paix, de la stabilité et du bon voisinage dans leurs régions respectives en Afrique et dans le monde.
Tout en notant les efforts conjugués des dirigeants africains pour le règlement des conflits en Afrique, les deux chefs d’Etat ont mis l’accent sur la nécessité de renforcer les capacités existantes au sein de l’Union africaine (UA) pour la prévention, la gestion et la résolution des crises et des conflits.
Ils ont noté également “avec satisfaction”, les progrès réalisés pour la promotion et la mise en oeuvre des objectifs de l’UA et du NEPAD, pour assurer une croissance socio-économique des pays africains.
Les deux chefs d’Etat ont également eu des discussions sur les derniers développements de la situation au Sahara occidental. A cet effet, ils ont rappelé qu’il s’agit d’une “question de décolonisation”, dont la solution doit être basée sur “le droit à l’autodétermination” du peuple du Sahara occidental à travers l’organisation d’un référendum.
S’agissant de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, ils “ont condamné” les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et lancé un “appel pressant” aux Nations unies pour qu’elles exercent leurs responsabilités en la matière à travers, notamment, la mise en place d’un mécanisme de protection des droits de l’homme au Sahara occidental.
Concernant la situation au Proche-Orient, les deux chefs d’Etat ont réitéré leur soutien à une solution “juste et durable” du conflit israélo-palestinien qui offrira au peuple palestinien, le droit d’établir son Etat avec El Qods comme capitale.
Les deux chefs d’Etat ont réaffirmé leur engagement à lutter contre le terrorisme international et leur soutien au renforcement des efforts africains de coopération avec la communauté internationale dans ce cadre.
Ils ont, à cet égard, “vigoureusement” condamné le terrorisme sous toutes ses formes et réitéré leur soutien aux résolutions de l’UA et des Nations unies criminalisant le paiement des rançons.
Dans ce contexte, le président Zuma a exprimé le soutien de l’Afrique du Sud au Centre africain d’études et de recherches sur le terrorisme (CAERT) basé à Alger.
Le président Zuma “a félicité” l’Algérie pour sa qualification à la phase finale de la coupe du Monde de football 2010.
Pour sa part, le président Bouteflika a renouvelé le soutien de l’Algérie à l’Afrique du Sud pour “la réussite” de l’organisation de la coupe du Monde de football et a réitéré “sa conviction” que cet évènement planétaire “sera couronné de succès” et qu’il rehaussera “le prestige” de l’Afrique du Sud et du continent africain. (SPS)
Le président algérien, M. Abdelaziz Bouteflika, et son homologue sud-africain, M. Jacob Zuma, qui ont eu des discussions sur les derniers développements de la situation au Sahara occidental, ont rappelé qu’il s’agissait d’une “question de décolonisation”, dont la solution doit être basée sur “le droit à l’autodétermination” du peuple du Sahara occidental à travers l’organisation d’un référendum, selon le texte.
Evoquant la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, ils “ont condamné” les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés, a ajouté le communiqué. A cet effet, les deux chefs d’Etat ont lancé un “appel pressant” aux Nations unies pour qu’elles exercent leurs responsabilités en la matière à travers, notamment, la mise en place d’un mécanisme de protection des droits de l’homme au Sahara occidental, a-t-on souligné.
Les deux chefs d’Etat “se sont félicités”, par ailleurs, du “rôle actif” des deux pays dans la promotion de la paix, de la stabilité et du bon voisinage dans leurs régions respectives en Afrique et dans le monde.
Tout en notant les efforts conjugués des dirigeants africains pour le règlement des conflits en Afrique, les deux chefs d’Etat ont mis l’accent sur la nécessité de renforcer les capacités existantes au sein de l’Union africaine (UA) pour la prévention, la gestion et la résolution des crises et des conflits.
Ils ont noté également “avec satisfaction”, les progrès réalisés pour la promotion et la mise en oeuvre des objectifs de l’UA et du NEPAD, pour assurer une croissance socio-économique des pays africains.
Les deux chefs d’Etat ont également eu des discussions sur les derniers développements de la situation au Sahara occidental. A cet effet, ils ont rappelé qu’il s’agit d’une “question de décolonisation”, dont la solution doit être basée sur “le droit à l’autodétermination” du peuple du Sahara occidental à travers l’organisation d’un référendum.
S’agissant de la situation des droits de l’homme au Sahara occidental, ils “ont condamné” les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés et lancé un “appel pressant” aux Nations unies pour qu’elles exercent leurs responsabilités en la matière à travers, notamment, la mise en place d’un mécanisme de protection des droits de l’homme au Sahara occidental.
Concernant la situation au Proche-Orient, les deux chefs d’Etat ont réitéré leur soutien à une solution “juste et durable” du conflit israélo-palestinien qui offrira au peuple palestinien, le droit d’établir son Etat avec El Qods comme capitale.
Les deux chefs d’Etat ont réaffirmé leur engagement à lutter contre le terrorisme international et leur soutien au renforcement des efforts africains de coopération avec la communauté internationale dans ce cadre.
Ils ont, à cet égard, “vigoureusement” condamné le terrorisme sous toutes ses formes et réitéré leur soutien aux résolutions de l’UA et des Nations unies criminalisant le paiement des rançons.
Dans ce contexte, le président Zuma a exprimé le soutien de l’Afrique du Sud au Centre africain d’études et de recherches sur le terrorisme (CAERT) basé à Alger.
Le président Zuma “a félicité” l’Algérie pour sa qualification à la phase finale de la coupe du Monde de football 2010.
Pour sa part, le président Bouteflika a renouvelé le soutien de l’Algérie à l’Afrique du Sud pour “la réussite” de l’organisation de la coupe du Monde de football et a réitéré “sa conviction” que cet évènement planétaire “sera couronné de succès” et qu’il rehaussera “le prestige” de l’Afrique du Sud et du continent africain. (SPS)
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