La problématique de l’intégration économique et les efforts des pays africains pour impulser la relance économique dans le contexte des dures réalités de la mondialisation ont été au centre de l’intervention du Président de la République au sommet de Kampala consacré au Nepad.
Le Chef de l’Etat a souligné que l’approche de l’Algérie en matière de politique économique prend en considération l’option visant à promouvoir l’intégration et la croissance au niveau régional notant à cet égard la dimension d’intégration régionale des projets nationaux d’infrastructures lancés par l’Algérie dans les domaines des transports, de l’énergie et des technologies de l’information et de la communication. “Au-delà de leur mission nationale, les grands projets engagés par mon pays dans le cadre de ses divers plans de développement sont de par leur envergure, des facteurs favorisant l’intégration régionale et continentale”, a souligné le Chef de l’Etat.
A l’évidence, la problématique de l’intégration économique et l’édification d’espaces économiques régionaux fondés sur la complémentarité sont vues comme des choix incontournables à l’heure où les grands ensembles régionaux (Union européenne, ALENA…) sont une réalité dont l’impact ne peut être ignoré. C’est en renforçant l’intégration et la complémentarité économique que les pays africains feront des progrès rapides dans la lutte contre la pauvreté, les maladies et l’ignorance. Si les spécialistes et les responsables politiques ne cessent de préconiser, de renforcer l’intégration, force est de constater que les réalisations en termes de projets concrets restent modestes pour de multiples raisons. Volonté politique, vision solidaire et abstraction des calculs étroits sont des préalables. La question du financement peut constituer un obstacle, compte tenu de la situation financière de la plupart des pays africains durement touchés par la crise et éprouvés par le fardeau de la dette.
La possibilité d’obtenir des crédits à des taux avantageux auprès de la BAD (Banque africaine de développement) pour le financement de projets renforçant l’intégration constitue sans aucun doute un atout non négligeable dont il y a lieu de tirer profit. Les projets initiés par l’Algérie en collaboration avec les pays voisins ou dans le cadre de son programme national de développement, prenant en compte l’optique d’intégration, traduisent la volonté de parvenir à une prospérité partagée. Le Chef de l’Etat devait évoquer les projets de l’autoroute Est-Ouest, les interconnexions du réseau électrique avec la Tunisie et le Maroc, la route transsaharienne Alger-Lagos, le gazoduc Nigeria-Algérie doublé d’une autoroute de fibres optiques.
“Ces projets prennent en compte le souci de contribuer substantiellement à l’édification d’un grand pôle de croissance à la mesure de l’ambition légitime de l’Afrique à surmonter la marginalisation dans laquelle elle est depuis trop longtemps confinée dans l’économie mondiale”, a souligné le Président Bouteflika.
Comme on peut le constater, l’Algérie demeure à l’avant-garde pour concrétiser les aspirations des peuples africains à la paix et au progrès économique.
Une Algérie qui répond toujours présent pour défendre les intérêts de l’Afrique dans les grands forums internationaux.
Le Chef de l’Etat a souligné que l’approche de l’Algérie en matière de politique économique prend en considération l’option visant à promouvoir l’intégration et la croissance au niveau régional notant à cet égard la dimension d’intégration régionale des projets nationaux d’infrastructures lancés par l’Algérie dans les domaines des transports, de l’énergie et des technologies de l’information et de la communication. “Au-delà de leur mission nationale, les grands projets engagés par mon pays dans le cadre de ses divers plans de développement sont de par leur envergure, des facteurs favorisant l’intégration régionale et continentale”, a souligné le Chef de l’Etat.
A l’évidence, la problématique de l’intégration économique et l’édification d’espaces économiques régionaux fondés sur la complémentarité sont vues comme des choix incontournables à l’heure où les grands ensembles régionaux (Union européenne, ALENA…) sont une réalité dont l’impact ne peut être ignoré. C’est en renforçant l’intégration et la complémentarité économique que les pays africains feront des progrès rapides dans la lutte contre la pauvreté, les maladies et l’ignorance. Si les spécialistes et les responsables politiques ne cessent de préconiser, de renforcer l’intégration, force est de constater que les réalisations en termes de projets concrets restent modestes pour de multiples raisons. Volonté politique, vision solidaire et abstraction des calculs étroits sont des préalables. La question du financement peut constituer un obstacle, compte tenu de la situation financière de la plupart des pays africains durement touchés par la crise et éprouvés par le fardeau de la dette.
La possibilité d’obtenir des crédits à des taux avantageux auprès de la BAD (Banque africaine de développement) pour le financement de projets renforçant l’intégration constitue sans aucun doute un atout non négligeable dont il y a lieu de tirer profit. Les projets initiés par l’Algérie en collaboration avec les pays voisins ou dans le cadre de son programme national de développement, prenant en compte l’optique d’intégration, traduisent la volonté de parvenir à une prospérité partagée. Le Chef de l’Etat devait évoquer les projets de l’autoroute Est-Ouest, les interconnexions du réseau électrique avec la Tunisie et le Maroc, la route transsaharienne Alger-Lagos, le gazoduc Nigeria-Algérie doublé d’une autoroute de fibres optiques.
“Ces projets prennent en compte le souci de contribuer substantiellement à l’édification d’un grand pôle de croissance à la mesure de l’ambition légitime de l’Afrique à surmonter la marginalisation dans laquelle elle est depuis trop longtemps confinée dans l’économie mondiale”, a souligné le Président Bouteflika.
Comme on peut le constater, l’Algérie demeure à l’avant-garde pour concrétiser les aspirations des peuples africains à la paix et au progrès économique.
Une Algérie qui répond toujours présent pour défendre les intérêts de l’Afrique dans les grands forums internationaux.
El Moudjahid, 25/7/2010
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