Le thème central de la 15e session ordinaire de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, a été qualifié d’important mardi, à Kampala (Ouganda), par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel.
Intervenant à la clôture de cette conférence (25-27 juillet), M. Messahel a indiqué, dans une déclaration à la presse, que l’Algérie, qui a remis un mémorandum sur la santé maternelle, natale et néonatale (thème de ce sommet) à l’UA, a atteint les objectifs 4 et 5 (se rapportant la santé maternelle et infantile) des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). “Depuis l’année de l’adoption des OMD en 2000, année coïncidant avec le premier mandat du président Bouteflika, l’Algérie a densifié ses moyens, dans le but d’atteindre ses objectifs”, a-t-il dit, soulignant que la courbe est “actuellement ascendante”. En ce sens, l’Algérie présentera un bilan, en septembre prochain, sur les OMD et le transmettra aux Nations unies, un bilan devant être établi, toutes les cinq années.
Le ministre délégué est également revenu sur les autres sommets auxquels a pris part le président de la République, soulignant la “satisfaction” du chef de l’Etat, pour les progrès réalisés dans la mise en place d’une Agence de planification et de coordination du Nepad. Il s’agit de la mise en place d’une agence opérationnelle disposant des outils et capacités nécessaires, pour faciliter la mise en oeuvre et le suivi de projets d’intégration régional et continental.
Pour ce qui est de l’évaluation du partenariat, le ministre délégué a fait référence aux propos du président de la République, qui a affirmé que cette question devait demeurer une “préoccupation prioritaire” pour les instances africaines et, en particulier, pour l’Agence du NEPAD, relevant que cela permettra de réunir les éléments à même de nourrir un dialogue substantiel avec les pays développés, sur l’évolution nécessaire des mécanismes et du contenu de la coopération internationale, dans une économie globalisée. Les travaux de la 23e session du NEPAD ont également porté sur l’évaluation des résultats acquis dans le cadre de la participation africaine aux travaux du segment Afrique du G8 de Muskoka (Canada), ainsi qu’aux délibérations du G8, les 25 et 26 juin dernier au Canada, a encore rappelé M. Messahel.
Evoquant le 13e sommet du Forum des chefs d’Etat et de gouvernement participants au Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), au cours duquel le président de la République est intervenu dans les débats sur l’évaluation de la République de Maurice, le ministre a indiqué que des propositions ont été avancées, afin d’améliorer les mécanismes du MAEP.
S’agissant du comité des chefs d’Etat pour les changements climatiques, M. Messahel a aussi rappelé que l’Algérie est membre du Comité des dix, depuis sa création par le sommet (juin 2009), et est mandatée pour évaluer les développements liés aux négociations internationales sur la question des changements climatiques et de coordonner la position africaine en la matière.
L’Algérie participe au comité de négociation au niveau des chefs d’Etat et est porte-parole de l’Afrique dans les négociations sur le climat au niveau international, ces mandats ayant été exercés par l’Algérie à la conférence de Copenhague, tout en étant reconduite pour les prochaines échéances internationales.
Au sujet du Comité des dix, dont l’Algérie est membre, M. Messahel a indiqué que l’Afrique continue de militer pour la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, tout en exigeant, a-t-il dit, deux sièges permanents avec un droit de veto. “Il s’agit d’une position forte, viable et pertinente de l’Afrique, ce qui lui a permis de rester unie et d’élargir son cercle à d’autres parties” (en dehors du continent), pour soutenir cette position, selon M. Messahel. Le ministre délégué s’est également félicité de l’élection de deux Algériens, Fatima Delladj-Sebaa et Fatsah Ouguergouz, respectivement au Comité africain d’experts pour les droits et le bien-être de l’enfant et au poste de juge à la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples, à l’issue de la 17e session du Conseil exécutif de l’Union africaine, à Kampala.
Pour ce qui est de l’approche algérienne relative au Sahara Occidental, elle a été “défendue”, a-t-il indiqué, rappelant la position de l’Algérie pour un référendum d’autodétermination sous l’égide des Nations Unies.
Sur la question du terrorisme, l’Algérie a toujours condamné ce fléau, a indiqué le ministre, réitérant ainsi son appel à dénoncer et combattre tous les actes terroristes.
A une question sur la situation en Somalie, M. Messahel a précisé que l’Algérie est en contact avec ses partenaires, soulignant qu’elle partage la position de l’Afrique consistant à renforcer les capacités du gouvernement provisoire somalien. Il a affirmé qu’il y a une “responsabilité” des Nations unies qui doivent intervenir, dès lors qu’il s’agit du maintien de la paix dans cette région de l’Afrique.
Intervenant à la clôture de cette conférence (25-27 juillet), M. Messahel a indiqué, dans une déclaration à la presse, que l’Algérie, qui a remis un mémorandum sur la santé maternelle, natale et néonatale (thème de ce sommet) à l’UA, a atteint les objectifs 4 et 5 (se rapportant la santé maternelle et infantile) des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). “Depuis l’année de l’adoption des OMD en 2000, année coïncidant avec le premier mandat du président Bouteflika, l’Algérie a densifié ses moyens, dans le but d’atteindre ses objectifs”, a-t-il dit, soulignant que la courbe est “actuellement ascendante”. En ce sens, l’Algérie présentera un bilan, en septembre prochain, sur les OMD et le transmettra aux Nations unies, un bilan devant être établi, toutes les cinq années.
Le ministre délégué est également revenu sur les autres sommets auxquels a pris part le président de la République, soulignant la “satisfaction” du chef de l’Etat, pour les progrès réalisés dans la mise en place d’une Agence de planification et de coordination du Nepad. Il s’agit de la mise en place d’une agence opérationnelle disposant des outils et capacités nécessaires, pour faciliter la mise en oeuvre et le suivi de projets d’intégration régional et continental.
Pour ce qui est de l’évaluation du partenariat, le ministre délégué a fait référence aux propos du président de la République, qui a affirmé que cette question devait demeurer une “préoccupation prioritaire” pour les instances africaines et, en particulier, pour l’Agence du NEPAD, relevant que cela permettra de réunir les éléments à même de nourrir un dialogue substantiel avec les pays développés, sur l’évolution nécessaire des mécanismes et du contenu de la coopération internationale, dans une économie globalisée. Les travaux de la 23e session du NEPAD ont également porté sur l’évaluation des résultats acquis dans le cadre de la participation africaine aux travaux du segment Afrique du G8 de Muskoka (Canada), ainsi qu’aux délibérations du G8, les 25 et 26 juin dernier au Canada, a encore rappelé M. Messahel.
Evoquant le 13e sommet du Forum des chefs d’Etat et de gouvernement participants au Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), au cours duquel le président de la République est intervenu dans les débats sur l’évaluation de la République de Maurice, le ministre a indiqué que des propositions ont été avancées, afin d’améliorer les mécanismes du MAEP.
S’agissant du comité des chefs d’Etat pour les changements climatiques, M. Messahel a aussi rappelé que l’Algérie est membre du Comité des dix, depuis sa création par le sommet (juin 2009), et est mandatée pour évaluer les développements liés aux négociations internationales sur la question des changements climatiques et de coordonner la position africaine en la matière.
L’Algérie participe au comité de négociation au niveau des chefs d’Etat et est porte-parole de l’Afrique dans les négociations sur le climat au niveau international, ces mandats ayant été exercés par l’Algérie à la conférence de Copenhague, tout en étant reconduite pour les prochaines échéances internationales.
Au sujet du Comité des dix, dont l’Algérie est membre, M. Messahel a indiqué que l’Afrique continue de militer pour la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, tout en exigeant, a-t-il dit, deux sièges permanents avec un droit de veto. “Il s’agit d’une position forte, viable et pertinente de l’Afrique, ce qui lui a permis de rester unie et d’élargir son cercle à d’autres parties” (en dehors du continent), pour soutenir cette position, selon M. Messahel. Le ministre délégué s’est également félicité de l’élection de deux Algériens, Fatima Delladj-Sebaa et Fatsah Ouguergouz, respectivement au Comité africain d’experts pour les droits et le bien-être de l’enfant et au poste de juge à la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples, à l’issue de la 17e session du Conseil exécutif de l’Union africaine, à Kampala.
Pour ce qui est de l’approche algérienne relative au Sahara Occidental, elle a été “défendue”, a-t-il indiqué, rappelant la position de l’Algérie pour un référendum d’autodétermination sous l’égide des Nations Unies.
Sur la question du terrorisme, l’Algérie a toujours condamné ce fléau, a indiqué le ministre, réitérant ainsi son appel à dénoncer et combattre tous les actes terroristes.
A une question sur la situation en Somalie, M. Messahel a précisé que l’Algérie est en contact avec ses partenaires, soulignant qu’elle partage la position de l’Afrique consistant à renforcer les capacités du gouvernement provisoire somalien. Il a affirmé qu’il y a une “responsabilité” des Nations unies qui doivent intervenir, dès lors qu’il s’agit du maintien de la paix dans cette région de l’Afrique.
La Tribune des Lecteurs, 29/7/2010