Dans l’absence de l’Algérie et de la Mauritanie
Les Renseignements de six pays réunis Samedi à Bamako
Les Renseignements de six pays réunis Samedi à Bamako
L’Algérie et la Mauritanie n’ont pas pris part à une réunion sécuritaire qui s’est tenue, avant-hier, à Bamako, où ont pris part des responsables sécuritaires de six pays africains, dont trois pays du Sahel. Certains observateurs ont qualifié l’absence de ces pays de boycott, décidé suite à la crise née entre Alger et Nouakchott, d’une part, et entre l’Algérie et le Mali de l’autre, suite à la libération des quatre terroristes d’Al-Qaida, en février dernier.
Les responsables des services de renseignements du Mali, du Niger, du Tchad, du Bourkina Faso, du Nigeria, du Tchad et du Sénégal qui se sont réunis à Bamako ont discuté le moyen de faire face aux menaces terroristes du mouvement d’Al-Qaida au Sahel et dans les régions se situant au sud du Sahara.
L’agence de presse française AFP a rapporté la déclaration d’un participant à cette réunion : « la sécurité dans l’espace du Sahel relève de la responsabilité de tout le monde, toutefois, l’objectif escompté de cette rencontre est de resserrer les liens entre les pays se trouvant au sud du Sahara, et ce, pour une meilleure efficacité ». Une autre source a révélé que le renseignement doit parvenir de du centre de la bataille contre le terrorisme et l’insécurité. L’absence de l’Algérie et la Mauritanie à cette rencontre qui a duré deux jours semble vraisemblablement un boycott. Cette absence a été expliquée par la crise silencieuse née, le mois de février dernier, entre les deux pays absents d’une part, et le Mali de l’autre, qui a libéré quatre terroristes d’« Al-Qaida » contre la libération du ressortissant français.
L’Algérie et la Mauritanie ont qualifié cet échange de soumission sans précédent aux exigences d’Al-Qaida et d’encouragement du terrorisme et du kidnapping des personnes et du paiement des rançons dans le Sahel Africain. On doit rappeler, également, qu’au début de cette semaine, une médiation a eu lieu entre le Mali et la Mauritanie. Elle a été conduite par El Baghdadi El Mahmoudi, secrétaire du comité populaire général à la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire socialiste, (équivalent du Premier ministre), qui est arrivé samedi à Nouakchott dans une visite de deux jours.
Ce qui est plus surprenant dans la réunion de Bamako, c’est la participation du Nigeria et du Sénégal, quoiqu’ils ne soient pas qualifiés comme des pays du Sahel.
Le Nigeria n’a pas manqué d’exprimer sa crainte concernant d’éventuelles attaques terroristes conduites par Al-Qaida au Maghreb Islamique, qui a menacé les responsables de ces pays de se venger contre les génocides perpétrés contre les musulmans à travers le monde.
Pour ce qui est de Dakar, elle a multiplié ses réunions et sa coordination sécuritaires sur le terrain avec les pays voisins, notamment avec la Mauritanie et les Etats-Unis, dans le cadre du programme Flintlock pour l’entrainement des Armée, en mai dernier.
Les responsables des services de renseignements du Mali, du Niger, du Tchad, du Bourkina Faso, du Nigeria, du Tchad et du Sénégal qui se sont réunis à Bamako ont discuté le moyen de faire face aux menaces terroristes du mouvement d’Al-Qaida au Sahel et dans les régions se situant au sud du Sahara.
L’agence de presse française AFP a rapporté la déclaration d’un participant à cette réunion : « la sécurité dans l’espace du Sahel relève de la responsabilité de tout le monde, toutefois, l’objectif escompté de cette rencontre est de resserrer les liens entre les pays se trouvant au sud du Sahara, et ce, pour une meilleure efficacité ». Une autre source a révélé que le renseignement doit parvenir de du centre de la bataille contre le terrorisme et l’insécurité. L’absence de l’Algérie et la Mauritanie à cette rencontre qui a duré deux jours semble vraisemblablement un boycott. Cette absence a été expliquée par la crise silencieuse née, le mois de février dernier, entre les deux pays absents d’une part, et le Mali de l’autre, qui a libéré quatre terroristes d’« Al-Qaida » contre la libération du ressortissant français.
L’Algérie et la Mauritanie ont qualifié cet échange de soumission sans précédent aux exigences d’Al-Qaida et d’encouragement du terrorisme et du kidnapping des personnes et du paiement des rançons dans le Sahel Africain. On doit rappeler, également, qu’au début de cette semaine, une médiation a eu lieu entre le Mali et la Mauritanie. Elle a été conduite par El Baghdadi El Mahmoudi, secrétaire du comité populaire général à la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire socialiste, (équivalent du Premier ministre), qui est arrivé samedi à Nouakchott dans une visite de deux jours.
Ce qui est plus surprenant dans la réunion de Bamako, c’est la participation du Nigeria et du Sénégal, quoiqu’ils ne soient pas qualifiés comme des pays du Sahel.
Le Nigeria n’a pas manqué d’exprimer sa crainte concernant d’éventuelles attaques terroristes conduites par Al-Qaida au Maghreb Islamique, qui a menacé les responsables de ces pays de se venger contre les génocides perpétrés contre les musulmans à travers le monde.
Pour ce qui est de Dakar, elle a multiplié ses réunions et sa coordination sécuritaires sur le terrain avec les pays voisins, notamment avec la Mauritanie et les Etats-Unis, dans le cadre du programme Flintlock pour l’entrainement des Armée, en mai dernier.
El Khabar, 9/8/2010
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