La presse sahraouie indépendante nous annonce la démission de Baba Sayed du poste de directeur du Centre d’Etudes Stratégiques Saguia El Hamra.
En entendant la nouvelle, j’ai rattrapé un fou-rire en me posant la question : Comment peut-il démettre si, en tant que directeur d’un centre stratégique, comme l’a si bien dit Saadbuh Sidina Mohamed Fadel, « il n’a jamais publié depuis son stratégique centre aucune étude pour la stratégique action politique qui, stratégiquement, nous servirait pour avoir une stratégie concrète » (Hahahahahahaha).
Jamais un écrivain n’a décrit aussi bien que Saadbuh la fantasmagorique mission de cet énergumène dont l’égo, ajoute Saadbuh, l’avance toujours de trois pas. Il est à la fois docteur d’université, persécuté politique, collaborateur et assesseur présidentiel doublé d’un idiot, imbécile et crétin, comme le dit si bien l’expression sahraouie, incapable d’accompagner son ombre tellement il est insociable, désagréable et stupide.
L’histoire de la création de ce centre est vraiment triste. Pour en comprendre les raisons, il faut retourner aux errements de Baba au Canada. Pour le remettre sur la voie de la lutte nationale qu’il a quittée pendant des années, le Polisario lui a offert comme cadeau de bienvenue ce centre pour entretenir et occuper un égaré désenchanté et maladroit.
Celui qui se vante d’être ancien exilé politique, conseiller présidentiel et professeur universitaire a déclaré avoir pris la décision de démettre parce que, selon lui, l’ambassadeur sahraoui à Alger a contacté les centre sd’études algériens pour leur interdire de collaborer ou de travailler avec lui.
Baba ne doit se plaindre. A-t-il oublié ses méfaits ? En plein apogée de la question du Sahara Occidental sur les podiums internationaux, le frère du fondateur de Polisario a commis un acte impardonnable. Il a demandé l’asile chez le pays où il devait plaider la cause de son peuple, le Canada. Au lieu de cela, il a œuvré à l’empoisonnement de sa propre réputation en lançant des attaques extrêmement agressives contre la direction du Front Polisario. Pire encore, il a tout fait pour que le gouvernement canadien et l’Union Européenne cessent leur aide humanitaire destinée aux réfugiés sahraouis. N’est-ce pas là une aberration impardonnable ?
Baba a certainement oublié tout ça comme il a oublié ses articles dans des journaux si hostiles aux sahraouis que Jeune Afrique et Al-Qods Al-arabi. Il a oublié tout le poison qu’il a craché contre ses compagnons de lutte et son peuple. Il s’amusait en jouant le jongleur pour amuser ceux qui lui applaudissait dans l’espoir de voir une lutte fratricide finir en allégeance au Maroc.
L’homme qui avait juré sur les colonnes de Jeune Afrique ne plus remettre les pieds au Polisario sous la même direction a fini par manger par la main de celui qu’il insultait et injuriait et il s’est montré plus docile qu’un agneau envers la direction qu’il considérait oxydée. Et pour le comble du ridicule, il s’est marié avec une présentatrice de Laaayoune TV, une chaíne installée à El Aaiun pour diffuser les pires calomnies sur le Front Polisario et la lutte du peuple sahraoui.
S’il avait au moins fait son devoir en tant que directeur d’un centre d’études stratégiques, Il aurait contribué à se racheter et regagner la sympathie du public sahraoui. Dans sa carrière à la tête de cette institution, aucune étude n’a été enregistré sur le CV de ce jongleur de la place publique.
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compendria mejor siempre comentar sobre lo que uno quiere pero mucho mejor es no darle importancia al caso. De lo contrario le estamos dando la importancia al individuo en si. Cosa que no lo merece. Para la sociedad Saharaui no hay nada importante ni doloroso mas que la perdida de la figura Del Martir Lualy Mustafa y todos los martires caidos por esta causa, estos si que hay que mencionarlos, hablar de ellos y no olvidarlos, tenerlos en todo momento en las primeras paginas. Asicomo de mencionar que da igual que uno dimita que otro dimita y hasta que si el Presidente lo haga ó deje su cargo. Tampoco hay que darle importancia. Nosotros somos una sociedad como otra cualquiera sobre la superficie terrestre, debemos de actuar como tal, uno dimita, pués haya el con su sacrificio sus principios, que se designa otro que se ponga otro adecuado para el mismo cargo. Lo que no esta bien visto ó a mi criterio darle importancia, empezar a lamentarse ó sacar del fondo sus antepasados. Que la persona dimita, que se vaya, bien va la Sociedad sea quien sea. Al final delante, detrás ó después las consecuencias irán con el y el pueblo le dará la razón, la desgracia, la vergüenza ó la valentia. En conclusión el maximo valor darlo a los MARTIRES DE NUESTRO PUEBLO, a los demás no se merece hablar de ellos ni darles importancia alguna. Eso es dejarlos en rediculo con ellos mismos. Mi punto de vista personal, el ejemplo esta alli los que abandonarón ese Pueblo es cosa de ellos. Ellos mismos juzgan a sus orgullos sus corazones y sus principios.