Algérie. Implosion de Rachad, panique chez Amir DZ et consorts – Aboud Hichem, Ferhat M’Henni, Mohamed Zitout, Assia Guechoud, Dhina Mourad, Maroc, MAK,
La nouvelle génération de harkis, version Boukhors alias Amir DZ, Mohamed Zitout, Assia Guechoud, Dhina Mourad alias Ammar, Aboud Hichem et de quelques autres terroristes, vit ses dernières heures si l’on se réfère a l’accélération des évènements depuis l’extradition d’Espagne de Mohamed Benhalima et des déclarations qui ont suivi et qui ont déclenché une véritable guerre entre les membres du Mouvement Rachad, c’est-à-dire entre Larbi Zitout et son disciple Amir DZ, ou il était question d’argent uniquement.
La neutralisation du groupe de terroristes a Skikda et les révélations qui ont suivi, ont aussi accéléré la descente aux enfers des relations déjà fragiles entre les « Youtubeurs » qui n’ont pour seul objectif que l’argent.
Il faut savoir que les membres du mouvement terroriste Rachad notamment, Mohamed Larbi Zitout qui vit à Londres (Angleterre) et Amir DZ, qui serait dans la capitale française, Paris, sont aux abois et se livrent publiquement à une guerre sans merci. Déjà classés dans la liste nationale des personnes et entités terroristes, pour leur implication dans de graves affaires de terrorisme et complots visant la sécurité nationale. Les observateurs sont unanimes pour dire que le mouvement Rachad vit assurément un sale quart d’heure, ceci se confirme par les insultes et les échanges virulents depuis quelques temps entre ses principaux membres, un conflit interne rendu public qui prend de plus en plus d’ampleur jusqu’au point de toucher aux femmes et aux filles de certains membres avec des menaces à peine voilées qui veulent montrer que les emplois du temps des membres des famille est connu par tous.
Il faudra revenir aux aveux faits par l’ex-militaire Mohamed Benhalima, extradé d’Espagne en mars dernier qui ont fait accélérer les évènements faisant tomber les masques avec une violence inouïe. La raison du conflit entre ces deux « harkis » se trouve tout simplement dans le butin de guerre amassé grâce aux directs sur les réseaux sociaux « Live » et la multiplication des émojis et des « Like »’ des deux hommes sur les réseaux sociaux. Amir DZ n’a pas hésité, à ce propos, d’accuser ouvertement Zitout de détournement de l’argent récolté alors qu’il devait servir, selon eux, d’aides aux familles des détenus-militants ou de couvrir les honoraires des avocats pour la défense des membres de Rachad arrêtés ou extradés en Algérie, comme cela est le cas pour Mohamed Benhalima qui quelques jours a peine avant son extradition d’Espagne, attaquaient sans aucun scrupule, l’Algérie ; son armée et ses institution, deux jours plus tard, il était en larmes a demander pardon.
RACHAD ACCUSE AMIR DZ DE TRAHISON
Face à la panique générale qui s’est emparée des différents Harki et membres de mouvement en disgrâce Rachad, qui ne sont d’ailleurs que des anciens membres du parti dissout, des membres de Rachad, se sont réunis, le 19 avril dernier en Suisse, une rencontre à laquelle ont participé Zitout et d’autres membres par visioconférence sans Assia Guechoud qui s’est abstenue se sentant surveillée par les services de sécurité français qui lui ont conseillé de prendre des distances vis-à-vis du mouvement terroriste Rachad.
Dans ce cadre de visioconférence, les intervenants ont soulevé les coups foireux et de trahison de Amir DZ, et pour cause, Amir DZ est accusé par ses les autres membres de fournir des renseignements aux services de sécurité français sur le mouvement Rachad. Pour y parvenir, « ils lui ont demandé de baisser le ton avec les autres membres du mouvement afin de ne pas éveiller les soupçons et surtout de récolter le maximum d’information auprès des dirigeants du mouvement ». Mais tout a fuité et Zitout ses amis ont eu vent de la trahison de Amir DZ, d’où d’ailleurs la réunion tenue en suisse.
Dans un cas comme dans l’autre, toute cette situation ne va, sans doute, pas manque d’avoir des répercussions sur le mouvement Rachad et risque de porter un sérieux coup à la prétendue cohésion de ses membres. Surtout, elle démontre, si besoin est, que les intérêts personnels au sein de cette organisation ont toujours été au dessus de toute autre considération…
A QUAND L’EXTRADITION DE AMIR DZ, MHENNI ET ZITOUT ?
Pour rappel, le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, avait bien affirmé que la diplomatie algérienne veille à ce que les Algériens qui s’évertuent à lancer des attaques contre l’Algérie et sa stabilité soient soumis aux dispositions des conventions internationales et lois des pays dans lesquels ils ont choisi de s’établir. L’Algérie a déjà demandé l’application de ces lois et conventions aux pays partenaires. En termes plus clairs, ceux qui continuent à cracher leur venin sur les réseaux sociaux pour porter atteinte à la stabilité et la sécurité de l’Algérie ne devront plus se prévaloir de la protection illégale, au sens du droit international, de leurs pays d’accueil.
Tout le monde le sait, des Algériens sous couvert de l’asile politique s’adonnent à attaquer sans retenue leur pays, l’Algérie. Ce statut de réfugiés politiques donne-t-il ce droit ? A-t-on le droit de faire de la politique sous couvert de l’asile politique ? Un réfugié politique a-t-il le droit de faire la politique à partir du pays qui lui a donné asile ? Autant de questions qui s’imposent face aux attaques multiples visant notre pays.
La propagande lancée à partir de certains pays européens, à l’instar de la France, de la Belgique, de la Suisse et de Grande-Bretagne montrent clairement que cette nouvelle génération de harkis version Amir DZ, Larbi Zitout, Hichezm Aboud et consorts, sont loin d’être de simples « refugiés » qui continuent constamment à faire du Buzz sur les réseaux sociaux incitant ce qui les suivent à se rebeller et à se révolter contre l’autorité de leur pays d’origine. Le tout est permis par le silence éloquent des pays hôtes. Pourtant les lois définissant les règles de l’asile politique sont claires et ne permettent aucune activité déjà et encore moins politique. Il faut aussi savoir que l’Etat qui accueille ces pseudo réfugiés, octroie des aides financières à l’instar de l’OFPRA, en France, qui accorde une subvention aux demandeurs d’asile qui n’ont pas le droit à travailler, alors faire de la politique, il ne faut même pas y penser mais la réalité est tout autre, attaquer l’Algérie est permis, une forme d’hypocrisie que se permettent ces pays hôtes.
il est aisé de voir que beaucoup de soi-disant « réfugiés » algériens en attente ou ayant obtenu « l’asile’ s’adonnent allègrement et publiquement à des activités de déstabilisation contre l’Algérie avec le soutien manifeste du Makhzen. C’est le cas du chef du MAK Ferhta M’henni et c’est aussi le cas d’Amir Dz qui se complait dans les troubles à l’ordre public et à manifester publiquement à Paris.
des dizaines de Youtubeurs algériens vivant sous le régime de l’asile politique ou du moins qui ont en fait la demande, mais s’adonnant à la propagande et à la haine raciale et à l’invective sous le regard hypocrite de ces pays hôtes, la France particulièrement où l’on peut compter le plus de nombre de youtubbeurs d’origine algérienne et fuyant le « régime » algérien crachant leur venin contre leur pays, l’Algérie en toute liberté sans jamais être inquiétés, tout comme Aboud Hichem, Ferhat M’Henni et Zitout à partir de Londres. Les derniers évènements de Kabylie ont démontré preuve à l’appuie l’implication de Ferhat M’Henni et son organisation, le MAK, dans les incendies et l’assassinat du jeune Djamel Bensmail sans jamais être inquiété en dépit du fait que les lois françaises condamnent ces actes.
En France, le Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, Ceseda, « prévoit également la fin du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire en cas notamment de menace grave pour la sûreté de l’État ou pour la société. il semblerait que ce sont les promesse d’Emanuel Macron an cas de sa réélection. Est-ce à dire que le terroriste Amir Dz doit compter ses heures en France, l’avenir nous le dira.
Zitouni Mustapha
Jeunesse d’Algérie, 22/04/2022
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