Un “contrat de communication” de 700.000 euros lie le Maroc au magazine Jeune Afrique (Facture)

Jeune Afrique a souvent été qualifié de « caisse de résonance de la FrançAfrique », « journal corrompu », « bras armé de la Françafrique », « sac à merde »… Ses accointances avec les régimes dictatoriaux africains qui s’obstinent à pérenniser leur rôle de négriers de la France n’est plus à prouver. Ceux-ci payent cher pour rester au pouvoir.

Parmi les régimes qui font recours aux services de Jeune Afrique se trouve la monarchie médiévale du Maroc. Voici une facture trouvée parmi les documents confidentiels des services secrets marocains:

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’’JEUNE AFRIQUE’’ OU ’’FRANÇAFRIQUE’’

Par Mountaga Fané Kantéka

Toujours dans son petit mais explosif livre, ’’FRANCE-AFRIQUE / LE CRIME CONTINUE ’’(tahin party, 2000), l’auteur français FRANÇOIS XAVIER VERSCHAVE précise :
« Ce que j’ai appelé la ‘’FRANÇAFRIQUE’’, c’est ce SYSTÈME DE CONNIVENCES entre des potentats africains et le conglomérat de leurs parrains français, politiques, militaires et financiers. »

Ce système de « CONNIVENCES FRANCO-AFRICAINES » au détriment des peuples africains a été sournoisement conçu pour FAIRE ÉCHEC au mouvement de DÉCOLONISATION imposé à la France, après la 2e guerre mondiale, par les deux grandes puissances de l’époque : les ÉTATS-UNIS et l’ex URSS. Et c’est pour maintenir en vie ce système de connivences que ’’JEUNE AFRIQUE’’ existe. Si bien que, ’’FRANCE-AFRIQUE’’ ou ’’FRANÇAFRIQUE’’, sans jeu de mots, serait un nom beaucoup plus approprié à ce canard dont le proprio « arabe exilé en France » Béchir Ben Yahmed se fait du beurre et des peanuts sur le dos des Nègres d’Afrique.

Pour mieux comprendre la situation, un bref historique s’impose.

LES DÉBUTS DE LA ’’FRANÇAFRIQUE’’

Pressé par ses alliés américains et soviétiques, à se défaire des mamelles qui nourrissent son pays depuis des décennies, le président français de l’époque, le GÉNÉRAL DE GAULLE, décida en désespoir de cause, de monter, en 1958, une stratégie en vue de la « CONFISCATION DES INDÉPENDANCES AFRICAINES ». Pour cela, le mythique Général français alla tirer de son tiroir un sinistre individu du nom de JACQUES FOCCART. Un Oiseau de proie entièrement dévoué aux affaires suspectes de la République, « ayant une disponibilité totale, sans domaine réservé à l’intimité, aux enfants, à une vie de famille » (comme le décrivent les journalistes français ANTOINE GLASER et l’énigmatique STEPHEN SMITH dans leur ouvrage intitulé ’’CES MESSIEURS AFRIQUE / DES RÉSEAUX AUX LOBBIES’’). Un lugubre personnage qui était pour De Gaulle « l’homme de l’ombre, mais surtout l’estafier, le valet d’armes portant le manteau et la lance du chevalier, lui mettant le pied à l’étrier », travaillant pour le « chef historique et sa »mission » — la grandeur de la France et son rang dans le monde — en se servant de l’État comme ‘’État-moyen’’ », comme le rappellent encore les deux journalistes français.

C’est à ce LAQUAIS DU GAULLISME — JACQUES FOCCART —, mort sans laisser d’héritier, que fut confiée la SALE MISSION de maintenir coûte que coûte l’Afrique sous le giron de l’Empire colonial français. À l’époque, il dirigeait les SERVICES SECRETS FRANÇAIS, supervisait les nominations aux principaux postes du parti gaulliste et de l’État et assurait aussi le financement du parti du Général. Vis à vis de l’Afrique, il devait atteindre les TROIS OBJECTIFS ainsi énumérés par Verschave :

• GARDER un CORTÈGE D’ÉTATS-CLIENTS (africains) pour permettre à la France de conserver son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.
• Assurer à la France l’ACCÈS AUX MATIÈRES PREMIÈRES STRATÉGIQUES AFRICAINES, comme l’Uranium pour la fabrication de la BOMBE ATOMIQUE, le pétrole et les cultures de rente (cacao, banane, café).
• DÉTOURNER ces rentes pour FINANCER DES PARTIS POLITIQUES français siégeant au gouvernement

C’est ainsi que les « anciennes colonies françaises » de l’AFRIQUE SUBSAHARIENNE passèrent de l’illusion d’indépendance aux supplices du néocolonialisme. À l’exception de la GUINÉE-CONAKRY du digne leader AHMED SÉKOU TOURÉ qui avait été le seul à opposer un catégorique « NON! » à la première tentative de récupération française empruntant le trompeur nom de « COMMUNAUTÉ FRANÇAISE ». Ainsi furent sabordés tous les efforts d’émancipation et de libération de ces « nouveaux pays » africains, comme on le verra brièvement dans un chapitre approprié…

L’ENTRÉE EN JEU DE ’’JEUNE AFRIQUE’’

« HASARD » ou NÉCESSITÉ, un curieux phénomène veut que la mise sur pied de cette politique de CONFISCATION de l’INDÉPENDANCE NÉGRO-AFRICAINE coïncide étrangement avec la naissance du journal ’’JEUNE AFRIQUE’’, fondé le 17 Octobre 1960 à Paris par le Tunisien BÉCHIR BEN YAHMED.

Commençons d’abord par relever la PÉJORATIVE APPELLATION « JEUNE AFRIQUE » qui sous-entend ce SINISTRE PATERNALISME dont le colon français n’arrivera jamais à se défaire, voulant toujours faire croire que l’Afrique — vieille de plusieurs millénaires et berceau de l’Humanité et de la civilisation — n’a existé qu’avec sa venue. Lui qui n’a qu’une histoire d’à peine quelques siècles. Lui qui n’a commencé à exister qu’avec son contact avec l’Afrique.

Ensuite, sans rentrer dans les détails quant à la non-existence du « HASARD » — surtout en matière de politique — , disons que la création de ce canard néocolonialiste relève de tout, sauf du « HASARD ». C’est encore VERSCHAVE qui lève le voile sur ce point : « Vous savez que le JOURNAL FRANCO-AFRICAIN JEUNE AFRIQUE est devenu le LÉGATAIRE UNIVERSEL des œuvres de JACQUES FOCCART! Dans ses MÉMOIRES, celui-ci explique que, depuis 1983, il mangeait tous les mois avec BÉCHIR BEN YAHMED, le patron de Jeune Afrique. Ce »MARIAGE » est le plus ancien et le plus connu… » (sic)

Que peut-on rajouter à cette CONFESSION NON ÉQUIVOQUE? Sinon rappeler que ce « mariage » entre le FAUCON FOCCART et le VAUTOUR BEN YAHMED, cette UNION INCESTUEUSE entre le PRÉDATEUR et le CHAROGNARD – l’un abattant la victime pour se sustenter de sa chair fraîche, l’autre se repaissant des miettes de sa charogne – remonte bien plus longtemps que ce que le premier affirme dans ses mémoires, c’est à dire, à l’origine même de la ’’FRANÇAFRIQUE’’, de 1958 à 1960.
Et bien plus loin encore quand on remonte à l’ORIGINE MÊME DU MAL, si l’on sait que bien longtemps avant la colonisation, ce sont les ESCLAVAGISTES ARABES ET ARABO-BERBÈRES qui servirent de RELAIS aux premiers esclavagistes occidentaux pour l’IMPLANTATION de la TRAITE ATLANTIQUE qui paracheva la chute de l’Afrique noire, en facilitant grandement sa CAPTURE par les colons aidés de leurs NÈGRES RENÉGATS…

S’il faut appeler le chat par son nom, cela fait plusieurs siècles que ces deux peuples de LEUCODERMES – tous deux ayant une ORIGINE INDO-EUROPÉENNE – se sont mis ensemble pour FOURRER LES NÈGRES d’Afrique! Pour dire les choses encore plus clairement, le RACISME MAGHRÉBIN à l’égard des Noirs est encore PLUS VIRULENT et PLUS HYPOCRITE que celui des Français. Ces Maghrébins qui désignent les NOIRS avec le méprisant qualificatif de « KAHELOUCH ».

Un SONDAGE RÉCENT sur le RACISME AU QUÉBEC, effectué par Léger Marketing, a révélé que CE SONT LES « ARABES » (MAGHRÉBINS) QUI SONT LES PLUS HOSTILES AUX NOIRS. Et nous avons pu le vérifier à plusieurs égards. Sans nous attarder sur les raisons d’une telle OBSESSION, nous avons aussi remarqué cet OPPORTUNISME DÉSESPÉRÉ qui les pousse vers nous QUAND ILS SE SENTENT REJETÉS PAR LES OCCIDENTAUX. Ils SE RABATTENT alors SUR LES NOIRS au nom d’une DOUTEUSE « FRATERNITÉ MUSULMANE ». Un ISLAM qui, du reste, est bien plus scrupuleusement observé en Afrique noire qu’au Maghreb, une religion qui ne s’est IMPOSÉE au Maghreb que par la FORCE DE L’ÉPÉE. Parce que les Maghrébins y étaient les plus hostiles, comme nous l’enseigne l’HISTOIRE DE LA CONQUÊTE MUSULMANE…

Par ailleurs, nous savons aussi qu’ENTRE EUX-MÊMES, ils se détestent comme CHIENS ET CHATS. Sans compter le MÉPRIS qu’ils inspirent aux LIBANAIS et aux autres AUTHENTIQUES « ARABES DE L’ARABIE » qui, je le rappelle encore, doivent beaucoup aux Noirs pour leur culture, leur langue et leur religion. Pas seulement à cause du Nègre BILAL, mais le contexte sociopolitique même de l’ARABIE HEUREUSE, entièrement façonné par des NOIRS SABÉENS à qui sont venus se mélanger les tribus blanches et nomades JECTANIDES. À bien des égards, les Noirs d’Afrique sont plus proches des Arabes authentiques que les Maghrébins qui, rappelons-le derechef, sont des INDO-EUROPÉENS venus s’installer en Afrique sur des vestiges de cultures nègres. Certains d’entre eux sont assez honnêtes et assez cultivés pour le reconnaître. Ce sont plutôt les plus incultes ou les semi-lettrés qui font du boucan sur du vide, s’identifiant à l’Arabe et à un Islam dont ils ignorent les tenants et les aboutissants…

Pour en revenir à BÉCHIR BEN YAHMED, ceux qui lisent ’’JEUNE AFRIQUE’’ auront remarqué dans le SOMMAIRE, que ce journal fait une DISTINCTION entre les RUBRIQUES consacrées d’une part à l’ »AFRIQUE SUBSAHARIENNE » et d’autre part au ’’MAGHREB ET MOYEN-ORIENT’’, comme si le Maghreb était un continent à part, faisant corps avec le Moyen-Orient. Cet hallucinant détail témoigne aussi de cet esprit de démarcation reposant sur la différence de couleur. On peut d’ailleurs s’étonner pourquoi jusqu’à présent aucun dirigeant africain (pourvoyeur de fonds) ne s’est révolté contre cet INSOLENT RACISME DÉCLARÉ.
Tant qu’à faire, pourquoi l’« Arabe » Béchir Ben Yahmed ne change pas le nom de son journal en ’’JEUNE MAGHREB-MOYEN-ORIENT’’ ou ’’JEUNE ARABIE-BERBÉRIE’’ ou ’’ JEUNE JOURNAL FRANCO-ARABO-BERBÈRE’’? S’il est honnête avec lui-même, c’est ce qu’il devrait faire!

QUELQUES ANECDOTES EN GUISE D’ILLUSTRATIONS D’UNE PUANTE MENTALITÉ

Multiples sont les expériences douloureuses que les Noirs ont endurées de la part de ce peuple. Je me souviens encore d’une anecdote concernant le célèbre footballeur algérien RABAT MADJER qui, lors d’une COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS, à la suite d’un problème d’arbitrage s’était emporté contre tous les Noirs en proférant des propos du genre : « C’est une Coupe de Nègres! Je me demande même pourquoi on y participe. On devrait plutôt participer à la Coupe d’Europe des Nations. » (je cite de mémoire). C’était dans les années 80 (vers la fin). Pourtant, le NEZ ÉPATÉ et le FACIÈS même de MADJER, l’apparentent plus à un NÈGRE qu’autre chose.

J’ai été témoin d’une réaction semblable à Montréal, lors du visionnement d’un match de Coupe d’Afrique entre la TUNISIE et le NIGÉRIA dans un BAR MAGHRÉBIN situé sur la rue Jean-Talon (dans le quartier ’’Petit Maghreb’’). À la suite de la victoire tunisienne, un TUNISIEN surexcité se mit à tenir ce discours : « Ce n’est plus un pays africain qu’il nous faut! Qu’ils se mettent tous ensemble ces Africains et on va les battre! » (sic) Estomaqué par une telle énormité, je me contentai de lui demander : « Tu n’es pas un Africain toi? » Pas de réponse! Et que pouvait-il répondre d’ailleurs?

Je me souviens également du traitement méprisant réservé aux Noirs par les HÔTESSES DE L’AIR MAGHRÉBINES, lors des voyages avec ROYAL AIR MAROC, AIR ALGER ou TUNIS AIR. Et aussi la volonté exprimée, un moment, par le Maroc d’adhérer à la COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE.
Pendant qu’on y est, POURQUOI LES MAGHRÉBINS N’ABANDONNENT-ILS PAS L’AFRIQUE AUX « AFRICAINS » ET RETOURNENT S’INSTALLER EN EUROPE AVEC LEURS « FRÈRES INDO-EUROPÉENS »?

On ne peut quand même pas prétendre à la fois au BEURRE, à l’ARGENT DU BEURRE et au CUL DE LA CRÉMIÈRE! On pourrait longtemps épiloguer sur la question. Toujours est-il que l’ABSENCE DE LA HONTE chez l’être humain, peut le pousser à bien d’égarements! QUAND ON N’EST PAS COHÉRENT AVEC SOI-MÊME, c’est cela qui amène tous les DÉBOIRES!
J’ai entendu bien des fois en France, des FRANÇAIS me dire : « ON N’A RIEN CONTRE LES NOIRS! MAIS, LES MAGHRÉBINS, ON NE PEUT PAS LES SENTIR! » (sic) Mais, je n’avais jamais prêté une oreille complaisante à ce genre de propos que je jugeais fallacieux, convaincu que j’étais, à l’époque, que c’est parce que les Maghrébins étaient « moins dociles, plus fiers et plus conscients de leur histoire que les Noirs » qu’ils étaient détestés par les Français, mus par un sentiment de vengeance. Et c’est cet argument que je déployais contre ces Français qui me faisaient ces confidences de toute bonne foi. J’avais même mentionné cet argument de la « fierté maghrébine » dans mon essai intitulé ’’CONSCIENCE NÈGRE ET PROBLÈME NÈGRE ’’ (1995)…

Mais, aujourd’hui, avec le recul et toutes les expériences accumulées en la matière, je vois le PROBLÈME MAGHRÉBIN sous un nouvel angle. Et je reviendrai certainement un jour sur cette préoccupante question dans un OUVRAGE PLUS ÉTOFFÉ…

C’est ce même ÉTAT D’ESPRIT – infestant la CONSCIENCE COLLECTIVE MAGHRÉBINE – qui anime la démarche de JEUNE AFRIQUE et de son propriétaire Maghrébin, BÉCHIR BEN YAHMED, à l’égard de l’Afrique et des Africains au sud du Sahara…

BREF APERÇU SUR LA POLITIQUE DE DÉVASTATION DE LA FRANÇAFRIQUE

Ce NÉOCOLONIALISME FRANÇAIS, ayant pour nom FRANÇAFRIQUE et pour instrument JEUNE AFRIQUE, depuis un demi-siècle, n’a épargné rien à son pouvoir pour faire passer les « nouveaux pays » de l’Afrique subsaharienne de l’illusion d’indépendances aux supplices de l’INCARCÉRATION. Des supplices empruntant plusieurs techniques dont la promotion d’un certain nombre de minables DIRIGEANTS AFRICAINS au rang des « AMIS DE LA FRANCE », à travers notamment des ÉLECTIONS TRUQUÉES, évoquées avec quelques détails par Verschave.
Il s’agissait aussi de bloquer toutes les tentatives de fédération des États africains, saborder tous les efforts africains de regroupements pour créer un ÉTAT AFRICAIN FORT, comme en témoigne l’échec de la « FÉDÉRATION DU MALI » autour du Malien MODIBO KÉITA, du Guinéen AHMED SÉKOU TOURÉ et du Sénégalais LÉOPOLD SÉDAR SENGHOR, le TRAÎTRE et « AMI DE LA FRANCE » qui servit d’instrument au parrain français pour faire avorter cette salutaire initiative. Aux dépens des peuples malien, guinéen et sénégalais. Ce même Senghor – un ASSIMILÉ NOTOIRE – qui a PERSÉCUTÉ son compatriote panafricaniste CHEIKH ANTA DIOP jusque dans sa tombe.

Il s’agissait aussi d’inciter ces « Amis de la France », comme HOUPHOUET BOIGNY de la Côte d’ivoire (et encore Senghor), à déclarer une guerre sournoise à la Guinée du « rebelle » Sékou Touré, et à faire montre d’un TRIBALISME SAUVAGE, jurant avec l’histoire de la sous-région, faisant notamment dire à HOUPHOUET BOIGNY que « la Côte d’Ivoire ne sera pas la VACHE LAITIÈRE DE L’AFRIQUE » (sic). La Côte d’Ivoire n’a pas été la vache laitière de l’Afrique, mais la vache laitière de la France qui l’a traite jusqu’à la consomption, l’a sucée jusqu’à la moelle, en la mettant à genoux, lui inoculant les germes de la guerre civile qui a failli l’emporter!

À cela, il faut ajouter les COUPS D’ÉTAT et / ou les ASSASSINATS POLITIQUES dirigés contre des Chefs d’États africains (dont l’inoubliable THOMAS SANKARA du Burkina Faso) hostiles à l’ingérence française, des GUERRES CIVILES pour déstabiliser des régimes réfracteurs. Bref tout un lot de faits répréhensibles que je n’ai ni la patience ni le stoïcisme d’énumérer dans leur totalité, de peur de sombrer dans la folie, sous le poids de la douleur. DOULEUR MORTELLE! Des forfaits assimilables au CRIME CONTRE L’HUMANITÉ dont la France et ses complices devront répondre tôt ou tard. Exactement comme des NAZIS ont eu à répondre de leurs crimes pour la SHOAH. J’y reviendrai dans un ARTICLE À PART quand je serai dans une meilleure disposition d’esprit…

PS : compte tenu de la longueur inopinée de cet article, j’ai décidé de le scinder et de traiter le comportement de JEUNE AFRIQUE face au MALHEUR GABONAIS dans un 3e volet qui jettera un peu plus de lumière sur la façon de procéder de « l’intellectuel arabe » Ben Yahmed. Un homme à neutraliser à tout prix!

MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA

Tags : Maroc, Afrique, Jeune Afrique, Françafrique, Bachir Ben Yahmed,

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