Le soutien financier, médiatique et politique du Maroc pour les deux organisations terroristes à savoir le Rachad et MAK, n’est plus un secret de polichinelle, et la dernière sortie du représentant de Rabat à l’ONU, Omar Hilale risque d’envenimer la situation davantage pour atteindre la rupture plus envisageable qu’un apaisement des tensions.
La sortie d’Omar Hilale est loin d’être fortuite, puisque le Makhzen, isolé sur la scène internationale dans le sillage de la surenchère de bas étage, exercée sur deux membres influents de l’Union Européenne à savoir l’Espagne et l’Allemagne, jouera son va-tout diplomatique incendiaire, en appelant à la division de l’Algérie, dont la liberté de son peuple et l’indépendance ont été chèrement payés par le sang versé de ses glorieux martyrs dans chaque coin de son territoire uni et indivisible.
Le Makhzen a déjà joué la carte du terrorisme avec le parti dissous et a échoué, provoquant la fermeture des frontières terrestres entre les deux pays, avant de pleurnicher sur le sort de ses ressortissants de l’Est du Royaume, qui survivaient grâce à la contrebande et de quémander la réouverture des frontières au nom de la fraternité et la solidarité humanitaire.
Même ton chez le propagandiste de la subversive chaîne Al Magharibia,Djamaleddine Benchenouf, qui appellera à la sagesse, au moment où toutes ses émissions diffusées sur la chaîne du fils d’Abassi Madani appelaient au chaos, et à l’affrontement entre les fils de l’Algérie, sans parler de son programme allant dans le démantèlement des institutions de l’État-nation, et sa colonne vertébrale l’ANP, digne héritière de l’ALN.
A l’instar de Benchennouf, le fugitif, et ancien bénéficiaire des largesses d’El Isaba, via ses deux journaux, Hichem Abboud portera secours à Omar Hilale, en s’autoproclamant intellectuel jamais invité des médias publics, sans révéler au grand public l’argent généré par les dividendes de l’ANEP, où même ses poursuites en France pour évasion et fraudes fiscales, dans le sillage de la création de la chaîne Amel TV, en partenariat avec son compagnon de la trahison Abdou Semmar.
Ces trois employés de la propagande ont un point en commun, faire l’éloge du régime du Makhzen et dénigrer les institutions de l’État, en véhiculant une image sombre de la situation en Algérie, après avoir échoué dans leur mission propagandiste du Hirak au profit de Rachad et le MAK.Ces propagandistes n’ont jamais évoqué les femmes-mulets au Maroc, symbole de l’humiliation humaine, ou de ce jeune migrant qui suppliait la police espagnole pour ne pas l’expulser, mais ont rapidement diffusé la désinformation sur la prétendue mort du président Tebboune, ou l’arrestation du président sahraoui Brahim Ghali.
Ces ploucs de la propagande ignorent certainement que la doctrine du régime du Makhzen taxe l’Algérie d’État ennemi depuis 1960, avant même l’indépendance .
La guerre marocaine des réseaux sociaux
Face au déficit flagrant des médias algériens à contrecarrer les desseins machiavéliques du Makhzen, il est impératif aux algériens soucieux de l’indépendance de leurs pays et l’unité de leur territoire, de redoubler de la vigilance, en matière des informations généralement des Fakenews, qui circulent sur les réseaux sociaux, véhiculées par une armée au service du Makhzen.
Ainsi, la quasi-totalité des comptes et pages qui traitent l’actualité algérienne sont infiltrées par des marocains, bien formés pour ce genre d’activité.
Ces comptent donnent une image « brillante » de la situation au Maroc et diffusent une image noire de la situation en Algérie, dans le cadre de la guerre psychologique visant à instaurer le doute chez l’algérien et assoir la rupture entre le citoyen algérien et les institutions de son pays.
Ces réseaux se joignent aux milliers de sites électroniques créés par le Makhzen pour le même objectif. A titre d’exemple, aucun commentaire d’insultes ou d’invectives n’est recensé au niveau du site marocain 360.ma, au sujet de l’actualité marocaine, par contre, des milliers de commentaires négatifs et insultes accompagnaient des informations concernant l’Algérie.
Dans le même sillage, il faut noter le silence de certains médias algériens au sujet de dérive du diplomate marocain, des médias qui bénéficient des largesses du Makhzen, dont nous révélerons l’identité prochainement.
L’accord que vient de signer le Maroc avec l’entité sioniste, en matière de cybersécurité, vise en premier lieu l’Algérie, car l’ennemi sioniste n’a jamais digéré les positions constantes de l’Algérie en faveur du droit du peuple palestinien à récupérer leurs terres. Les algériens sont avertis.
Algérie54, 17/07/2021
Etiquettes : Maroc, Algérie, Israël, cybersécurité, cyberguerre, piratage, hacking,
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